Valérie, 30 ans, la comptable de la petite entreprise où j’ai travaillé pendant quelque temps, était une belle rousse à la peau très blanche et au minois constellé de taches de rousseur. Célibataire, elle collectionnait les amants mais, si l’on en croit ce qu’elle racontait pendant le déjeuner, dans le petit restaurant où tout le personnel se retrouvait, elle avait bien des orgasmes mais jamais le grand frisson.

Je l’ai invitée à dîner, nous sommes rentrés à pied chez elle où, sitôt arrivés, je l’ai renversée sur le lit, lui ai retiré la culotte et l’ai sauvagement empalée sans même lui laisser le temps d’enlever son manteau. Râles, orgasme, une cascade d’orgasmes, jamais je n’avais connu une partenaire aussi enflammée et il en fut de même les jours suivants ; Valérie vint même me retrouver à Clermont Ferrand où le travail m’avait appelé. Pourtant fière de sa toison pubienne aussi rousse que ses cheveux, elle consentit à l’épilation intégrale pour m’être agréable.

Attiré par son admirable trou du cul vierge, caché entre deux globes à la blancheur tout aussi virginale, j’y ai longuement mis la langue, puis un doigt puis, selon mon habitude et avec le maximum de douceur, ma bite de taille il est vrai conséquente. Crispée, contractée malgré mes recommandations, Valérie geignit, pleura mais me laissa faire.

Une bonne baise traditionnelle, l’habituelle cascade d’orgasmes ; lovée dans mes bras, Valérie promit de me la laisser l’enculer autant que je voudrais mais me dit que je ne me rendais pas compte combien la sodomie lui était vraiment douloureuse. Ne lui ayant pas parlé de tout ce que je m’étais enfilé dans le cul, je lui proposai de m’enculer avec l’un de ses sextoys, belle bite traditionnelle lui servant à se donner du plaisir avec une de ses amies ; elle refusa.

« Je suis sûre que tu t’es déjà mis des godes au cul, me dit-elle, ça ne te ferait pas le même effet que ta bite dans le mien ; si tu veux que j’accepte de me la faire mettre par derrière, il faut te faire enculer par un noir que je connais, il a vraiment une énorme bite, ça te donnera à réfléchir ». Curieux et certain de mon entraînement, j’ai accepté et nous sommes aussitôt partis pour la place Dauphine où, à l’époque, des partouzes s’organisaient dans un ballet de voitures.

La BMW du noir en question stationnait dans une petite rue à proximité, il y exhibait un engin de dimensions en effet spectaculaires, plutôt destiné à des femmes cherchant des sensations, qu’il maintenait en érection en se branlant de temps en temps. En plus d’une grosse somme que je ne pouvais pas refuser, il voulait la bouche de Valérie pour une gorge profonde qu’elle non plus ne pouvait refuser.

Tous trois à poil dans la chambre de Valérie, j’ai pu mesurer la bite noire, en soupeser les couilles et mettre ma langue dans le trou du cul, ce qui plut à mon t o r t i o n n ai r e. Valérie ne se dégonfla pas, mais j’ai eu l’impression que cette bite venant buter au fond de sa gorge lui faisait mal bien davantage que la mienne dans ses entrailles. M’étant bien enduit de vaseline, j’ai écarté mes fesses à deux mains, offrant ma rondelle où le mâle s’engouffra.

En l’absence de préparation, l’entrée fut un peu douloureuse, mais rien de comparable avec celle des godes de plus en plus gros que je me mettais ; la bite vint buter contre le coude de mon rectum, le ventre noir plaqué contre mes fesses blanches, encore et encore pendant un ramonage de plusieurs minutes. C’était autre chose que la petite bite qui avait « dépucelé » mon cul à San José : je ne l’avais pas sentie. Là, j’ai vraiment su ce qu’était une énorme bite, la chatte de Valérie aussi après sa bouche, cela valait la poignée de billets convenue.

Valérie n’a plus jamais refusé de se faire enculer ; en quelques jours elle n’eut plus mal, son cul prit vite la forme d’un bel entonnoir, très vite elle eut aussi de mémorables orgasmes avec ma bite dans son cul et mes doigts sur son gros clito.